Réparer soi-même son scooter : quelques conseils

Réparer soi-même son scooter : quelques conseils

Le scooter est un véhicule qui se différencie de la moto par le diamètre de ses roues. Il dispose aussi d’un cadre ouvert, d’un plancher et d’un carénage. Le scooter est classé dans la catégorie des cyclomoteurs lorsque sa cylindrée est inférieure ou égale à 50 cm3. Au-delà de cette valeur, le scooter devient une motocyclette (cylindrée supérieure à 50 cm3) ou un maxi-scooter (gabarit large et cylindrée supérieure à 250 cm3). L’appréhension majeure des conducteurs de scooters porte sur les réparations imprévues induites par des pannes, et le cout de celles-ci. Dans cette rubrique, nous vous proposons quelques conseils pour réparer soi-même son scooter et réduire les frais de garage.

Apprendre à réparer soi-même son scooter dans un garage

D’emblée, il faut savoir que réparer soi-même son scooter est une activité risquée. En effet, les garages, Active Scoot et autres, maitrisent la structure et les interactions entre les divers scooters. Le conducteur novice ne maitrise toutefois pas quelles sont les particularismes entre : un scooter à essence, un scooter électrique, un scooter à deux, trois ou quatre roues. À moins d’être un as du bricolage, il est possible de suivre une formation à mi-temps avec le garagiste agrée de votre choix. Il pourra ainsi dispenser toutes les connaissances d’importance sur :

  • la réparation des composantes du scooter ;
  • les variations entre les divers scooters ;
  • et le protocole de révision de votre moto.

Réparer soi-même son scooter dans un atelier communautaire ou libre-service

Outre l’apprentissage en garage, il est possible de réparer le scooter en participant à des ateliers communautaires. En effet, certains quartiers prioritaires, agences et communes organisent des séances collectives d’apprentissage à la réparation des scooters et motos. L’objectif est de limiter le recours à la voiture en réhabilitant les motos immobilisées. Chaque conducteur doit s’équiper de son scooter, de ses pièces détachées et de son kit de réparation. Outre les ateliers communautaires, le motard peut apprendre à réparer lui-même son scooter dans un garage libre-service.

Réparer son scooter en autodidacte

Le cycliste aventureux peut se lancer et décider de réparer son scooter en autodidacte. Dans ce cas, il existe de nombreux manuels et tutoriels qui orientent les réparations. Ils permettent entre autres d’apprendre :

  • Comment changer les roues du scooter ;
  • Comment changer les freins ;
  • Comment changer les pneus de l’appareil ;
  • Comment faire la vidange ;
  • Comment dégripper la moto ;
  • Comment vérifier l’état du moteur ou de la batterie ;
  • Quelles sont les pièces essentielles du scooter ;
  • Etc.

Après avoir accédé aux cours appropriés, il faut tester ses connaissances sur une vieille moto. Cette précaution permet d’anticiper les dommages découlant de la non-maitrise du processus de réparation. On ne saurait parler de réparer soi-même son scooter sans aborder la question de l’entretien et des révisions techniques. Elles permettent de protéger les pièces du scooter, de réduire le prix de la réparation et de conserver le scooter en bon état tout le long de l’année.

Outre les tutoriels, de nombreux dispositifs existent en ligne pour apprendre soi-même à réparer son scooter en toute sécurité. Le conducteur peut tout simplement rechercher un mentor dans sa localité. Il peut s’agir d’un mécanicien spécialisé ou d’un passionné aguerri de sa propre expérience dans le domaine.

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